« Je n’ai pas de dogme, pas d’esthétique, j’essaye d’être la plus simple possible pour témoigner de que je vois et que je fixe avec mes médiums de prédilection, le dessin, la peinture, la gravure ».
« Si je devais définir une des solutions possibles des processus de création, j’évoquerais la lettre de Lisbonne de Valéry Larbaud dans laquelle il s’interroge si notre vie la plus réfléchie et les ouvrages qu’elle produit ne doivent pas autant à l’appropriation des réalités immédiates qu’à l’érudition et à la rhétorique. Je ressens cela comme une puissante évidence ».
Caroline Challan Belval, 2010