Etude du chantier de la gare de Tolbiac à Paris, de janvier à octobre 2000.
Ce travail a été réalisé dans l’esprit d’un carnet de voyage : prise de note rapide, confrontation physique avec la matière brute puis transformée, témoignage subjectif et sensible de l’architecture contemporaine.
« A travers une série de 38 toiles, de croquis à la pierre noire, de photos, j’ai tenté de saisir la force qu’il y avait dans l’édification progressive de ces énormes blocs de béton qui se liaient aux gris et aux ocres du ciel, aux ferraillages, aux flaques d’eau cimenteuses, aux bâches fantomatiques des escalators… »
Caroline Challan Belval